Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Falbalas et coquetteries
Archives
8 juillet 2006

extrait 2

La ville pour celui qui y passe sans y entrer est une chose, et une autre pour celui qui s’y trouve pris et n’en sort pas ; une chose est la ville où l’on arrive pour la première fois, une autre celle qu’on quitte pour n’y pas retourner ; chacun mérite un nom différent ; peut-être ai-je déjà parlé d’Irène, sous d’autre noms, peut-être n’ai-je jamais parlé d’Irène.

Les villes invisibles 'Italo Calvino'

Publicité
Commentaires
Y
Gaaah en plein coeur, Calvino ... un néo-réalisme surréaliste (ça existe?): 'Il sentiero dei nidi di ragno' (1947) sur la résistance italienne, et la folie du 'Visconte Dimezzato'(1959 ? ) m'avaient rendu 'croc' de son écriture...<br /> <br /> Rires, ça me rappelle une (très) libre interprétation (une sorte d'essai) du 'sentiero' qui m'avait valu un zéro pointé dans le cours ultra-spécialisé présidé depuis sa chaire par une pulpeuse (et arrogante) 'Docteur ès litterature'.Elle en avait lu des passages à mes compagnons de bancs, en me demandant comment j'avais osé écrire des inepties pareilles ! Rires : faut que je le retrouve!<br /> <br /> Un jour du Tabucchi?
Derniers commentaires
Publicité
Publicité