8 juillet 2006
extrait 2
La ville pour celui qui y passe sans y entrer est une chose, et une autre pour celui qui s’y trouve pris et n’en sort pas ; une chose est la ville où l’on arrive pour la première fois, une autre celle qu’on quitte pour n’y pas retourner ; chacun mérite un nom différent ; peut-être ai-je déjà parlé d’Irène, sous d’autre noms, peut-être n’ai-je jamais parlé d’Irène.
Les villes invisibles 'Italo Calvino'
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